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17 mai 2017 3 17 /05 /mai /2017 09:38

Quand je mesure mon ignorance en politique, je suis bien prétentieux à vouloir la définir en si peu de mots.

La politique est un espace tellement vaste qu’un engramme de son ensemble dans mon cerveau est impossible. Une vision globale sur le fonctionnement des gouvernements dans le monde me fait penser que je ne dois pas être le seul dans ce cas de figure. En parler est de ce fait une tâche d‘une complexité telle, que je ne peux que faire une tentative de simplification.

Cependant, ma pensée est, que la politique ne joue pas correctement son rôle en excluant trop souvent, de son langage : Science, Philosophie et poésie.

Constatons et simplifions !

Je crois l'avoir déjà dit par ailleurs.

Il existe la gauche, la droite, le centre, puis le centre droit et le centre gauche.

Les extrêmes, il vaut mieux se débrouiller pour les éviter, car, partout où ils s’exercent ou se sont exercés, de grands malheurs se sont abattus sur les peuples. À gauche il y a des impulsions de droite. À droite il y a des impulsions de gauche. Au centre il y a des impulsions de droite et de gauche.

Dans les extrêmes il y a des impulsions d’hostilité, de haine, d’intolérance, d’envie d’élimination de l’autre pour que vive l’un.

Pourquoi de telles impulsions ? Est-ce la preuve de la puissance absolutiste de la finance ?

Surement ! Parce que tous les pouvoirs sont sous l’autorité dictatoriale de l’argent. Il règne à travers le monde à l’aide d’un absolutisme qui lui donne une puissance à toutes épreuves.
 Sa puissance est telle qu’elle nous induit trois virus de base : Cupidité, Egoïsme et Jalousie.

Ces trois virus ne sont pas seuls à agir en politique mais ils nous permettent de rester simples et ouverts aux énormes problèmes qui se posent à travers le monde. Ils sont globaux !!!

La solution pour un autrement doit naître à l’école !

Dans quel but ? La VIE ! Quoi de plus important ???  

Max Weber, Historien, Sociologue, Economiste, enseignait le droit à Berlin.

Il a participé à la fondation de la sociologie moderne et s’est engagé dans l’action politique.

Il disait : « L’homme qui fait de la politique aspire au pouvoir, soit parce qu’il le considère comme un moyen au service d’autres fins – idéales ou égoïstes -, soit qu’il le désire pour lui-même en vue de jouir du sentiment de prestige qu’il confère ».

Les résultantes du très mauvais partage de l’argent qui a toujours eu des effets néfastes, s’exercent encore aujourd’hui de plus en plus violemment, en outre, des myriades de routes plus ou moins discrètes leurs sont ouvertes par la mondialisation. Les paradis veillent au grain !

Emblavons le bon grain                             Raymond Chermat

 

 

 

 

 

 

 

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