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15 mai 2019 3 15 /05 /mai /2019 08:04

Je répète ici que je suis bien prétentieux à vouloir définir le mot politique.

Parfois, en lisant la politique, en l’écoutant, en assistant à son évolution, seul l’absurdité lui convient comme partenaire. Les oligarchies financières qui gouvernent le monde de manière dictatoriale contre le bien de nous tous, avance à grands pas de géants vers des totalitarismes de type religieux et/ou idéologiques dangereux, au sein desquels l’argent est le puissant carburant.

Pendant ce temps au sein des assemblées de l’Organisation des Nations Unis des gens pensent, discutent et, en méditerranée, des enfants, des mamans, des papas coulent et meurent noyés à jamais, ils tentaient de traverser pour mieux vivre !

Nos corps, nos esprits sont déchirés ! La cupidité est la mère des conneries humaines. Quand serons-nous suffisamment  mortifiés ?

Il nous faut prendre conscience que nous sommes, tous, que de minuscules petites « bêtes » en promenade éphémère, sur un globe en suspension dans le multivers. Effaçons nos prétentions au bénéfice du respect eu égard à la Nature. Elle est notre mère, nous en sommes issus, répétons-le et, respectons-la ! Telles devraient être les discussions au sein de l’ONU ! Les noyés en mer qui espéraient mieux vivre sont respectables. Les laisser mourir est une monstrueuse erreur politique, une monstrueuse connerie humaine ! Autour de la mer méditerranée, dans les ports, les yachts de luxe ne bougent pas !

Les minutes sont plus nombreuses que les heures ! Et si on était épicurien quelques minutes de temps en temps, les réflexions profondes seraient peut-être plus productrices d’éléments positifs pour un monde meilleur avec amour ! Il nous reste à définir le mot AMOUR ! Peut-être même à trouver les mots pour le définir correctement. Les encyclopédistes ont un énorme travail devant eux !

Louis Antoine de Saint Juste, inspirateur de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen aurait dit : Tous les arts ont produit leurs merveilles, seul l’art de gouverner n’a produit que des monstres ».

Ces « monstres » éventuels, peuvent-ils enfin résoudre les problèmes humains autrement que par les sacrifices trop souvent inutiles, imposés aux peuples ?

Emblavons le bon grain et, à demain !                          Raymond Chermat

 

 

 

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14 mai 2019 2 14 /05 /mai /2019 18:01

Demandons à la Nature ! Comment fait-elle pour résister aux maux qu’on lui fait subir, en lui administrant des molécules chimiques, afin de nous débarrasser des mauvaises herbes qui gênent nos cultures ?

Ces molécules nous les retrouvons dans nos eaux des rivières, de nos mers, de nos océans, et dans nos cellules ! Hépatiques ? Demandons à la Nature ! Comment fait-elle pour résister encore aux maux qu’on lui fait subir en provoquant des explosions nucléaires expérimentales inutiles à travers notre planète afin de nous tuer, d’empoisonner nos eaux, notre air, nos nourritures et nos intérieurs ? Nous polluons les ressources nécessaires à notre VIE, c’est le comble de l’absurde. Continuons et, notre

« humanité » disparaitra avant que le cycle cosmologique « normal » ne l’ait voulu. « Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine, mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue » Albert Einstein.

Comme le pense Albert Einstein qui, comme le disent certains écrits, n’était pas très bon élève à l’école, « La bêtise humaine est infinie », Je pense, aujourd’hui, qu’il avait bien réfléchi ! La misère intellectuelle semble prendre racine ! Sommes-nous civilisés ? Le langage politique est devenu tellement pauvre qu’au travers des mots prononcés dans des phrases toutes faites à l’avance, jamais n’apparaît la puissance de la finance dans le monde, elle est, très souvent pour ne pas dire toujours à l’origine du fonctionnement et/ ou du dysfonctionnement de notre système nerveux central, moteur de nos comportements issus de pensées qui sont à l’origine de nos conneries humaines. Albert était plus poli il disait : bêtises humaines. Veuillez m’excuser !

Avoir le « pouvoir » et ne pas pouvoir dire que l’on est soumis à de tels absolutistes qui, eux, détiennent le pouvoir de manière despotique, est surement très frustrant. Demandons-le à François Hollande ! Il disait : « Mon ennemi est la finance » Il n’est plus président !

Nous pouvons nous pardonner : Nous ignorons ce qu’est la pensée ! Nous ignorons exactement comment elle se fabrique et comment elle nous parvient. C’est mystérieux ! Ce que l’on sait de notre cerveau c’est qu’il est géré par un système très complexe que j’ai concentré et siglé en d’autres pages : BCPE "bio-chimico- physico-élèctrique". Comment faire pour faire mieux ? Comprendre la naissance d’une connerie humaine c’est déjà compliqué ! Alors ? Imaginons ! Comment comprendre le BCPE ?

Créons pour VIVRE ! Ne créons pas pour mourir artificiellement !

Créer pour VIVRE est peut-être plus difficile mais, plus passionnant que créer pour mourir ! Parfois, en écoutant le parlement en activité, cela me rappelle l’activité des enfants au cours de la récréation dans une cour d’école au moment où les billes sont à la mode. Au parlement, le recours à l’invective est une preuve d’incapacité de créer, de gouverner correctement. On ne peut créer en faisant claquer les pupitres ! La connerie humaine est, là aussi, un énorme virus ! Peut-on éradiquer cette « maladie endémique » ?

Alors en présence d’un tel travail parlementaire, l’invective prendrait sa place au bar ! Là est son adéquat salon.

Emblavons le bon grain et à demain !                        Raymond Chermat

 

 

 
 
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13 mai 2019 1 13 /05 /mai /2019 09:42

Qu’est-ce que l’homme ? La question est posée en 1755 par Jean- Jacques Rousseau dans son discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité. Il dit : que : « riches et puissants dominent leurs semblables sur lesquels ils n’ont pas de réelles supériorités ».

Devant le soleil sans lequel toute VIE serait inexistante, nous sommes en « réflexion » tous égaux !

Soyons conscients ! Ne détruisons pas la Nature quand notre imagination est dépassée.

Cherchons ! Ne laissons pas le matérialisme ronger la VIE !

Que veut dire souveraineté nationale quand, tous ensembles, nous polluons l’air, l’eau et la terre de notre belle planète, du Nord au Sud et d’Est en Ouest ?

D’autres crimes rapportent, en 2017 il y a des ventes d’esclaves, des ventes d’armes, des ventes de drogues, des ventes de médicaments mal étudiés en recherches appliquées : exemple le -Médiator- vendu comme « adjuvant du régime adapté chez les diabétiques avec surcharge pondérale » .

Evidemment ! Il était anorexigène -coupe- faim- ! Mais, il avait aussi, outre cette action sur le système nerveux central, une action secondaire néfaste, il altérait les valvules. La valvulopathie, maladie responsable de nombreux morts.

Ce « médicament » mal étudié en recherche appliquée était vendu en pharmacie !

Les médicaments sont, à la base, des substances issues de molécules chimiques. Au vu de certains malencontreux constats concernant des effets dits secondaire et/ou indésirables, de certaines molécules devenues médicaments, il est aujourd’hui plus que jamais indispensable de chercher et chercher encore et toujours à améliorer le pouvoir sélectif et qualitatif d’un futur médicament. Les effets néfastes sont souvent irréversibles. En recherches appliquées la molécule en question a donc été mal étudiée.

Actuellement le médicament est sur la sellette médiatique. Ce fait est très important il relève, ô combien, du domaine scientifique fondamental. En effet, en recherches appliquées, les erreurs sont devenues visibles publiquement. Il est devenu évident que la course aux profits est frénatrice de la recherche sur la route très sinueuse qui devait mener à une tentative de « perfection », exigible, en matière de molécules chimiques destinées à la médication. Les réactions de notre corps « complexe » sont imprévisibles. Leurs éventuelles apparitions néfastes chez l’être « humain » doivent être l’objet d’études plus approfondies.

Nous détruisons petit à petit les fonctions vitales de notre environnement et aussi les fonctions qui se produisent dans les tissus de notre organisme, ce qui provoque des anomalies dans nos fonctions physiologiques. Beaucoup de gens prennent beaucoup de médicaments en même temps, sans tenir compte des interactions « médicamenteuses » on devrait dire : interaction entre différentes molécules chimiques. Ces nombreux médicaments sont souvent pris au même moment, sans tenir compte des effets maxima de chaque formule. Leurs effets cumulés provoquent des effets secondaires et/ou indésirables, des dysfonctionnements dans cette magnifique mécanique vitale dont le centre de triage est le foie.

Parfois cette magnifique usine qu’est notre foie, transforme une molécule chimique en un métabolite par action microsomiale. C’est compliquééééé !!!

Emblavons le bon grain et, à demain !                                  Raymond Chermat

 
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12 mai 2019 7 12 /05 /mai /2019 15:31

La VIE se montre généreuse partout autour de nous, observons nos cieux, nos étoiles, notre soleil, nos vents, nos pluies, nos eaux, nos mers, nos océans, que dis-je ! Observons tout, émerveillons-nous de la VIE, elle seule mérite l’absolue excellence ne la détruisons pas.

Nos prétentions exagérées nous ont laissés utiliser la recherche mal appliquée et, nous avons inventé le nucléaire afin de subir des milliers de morts artificielles, des milliers de maladies actuelles et à venir.

Notre savoir-faire nous l’avons beaucoup utilisé pour nos intérêts issus de notre égoïsme en desservant la VIE. Pensons que quelque parts dans le multivers des explosions ont eu lieu, des étoiles apparurent, d’autres disparurent, puis vint le système solaire, sans lequel nous ne pouvons vivre.

Pour nous ! Tous les matins il se lève ! Parfois caché mais, il est là ! Il nous permet de vivre ! Sans lui nous n’existons pas. Ne nous détruisons pas avant qu’il ne lait voulu. Si, quand le jour se lève nous pensions au soleil qui crée la lumière qui nous permet de voir nous cesserions de penser que nous sommes tout puissants.

Emblavons le bon grain et, à demain !                        Raymond Chermat

 
 
 
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11 mai 2019 6 11 /05 /mai /2019 09:11

Imaginer un animal sans sa pensée est à exclure ! Il est dit que le langage est une aptitude exclusivement réservée à l’être humain. Soit ! Mais si l’on admet que l’animal pense, « communique » avec son semblable, parfois il est remarquable qu’il tente de communiquer avec l’être humain. L’animal comme l’être humain, possède un merveilleux petit mécanisme qui fonctionne parfaitement quand il est réglé naturellement, il est, comme pour nous, composé de physiologie, de biologie, de chimie, de physique et d’électricité.

Ces merveilleux mécanismes permettent à l’animal de construire son « intelligence » dans laquelle il a sûrement des facultés et des pouvoirs d’imaginer, de s’adapter, et de mémoriser.

Seule la Nature à l’aide de ses droits immémoriaux peut nous guider.

Ici je dois citer un exemple qui m’a toujours fasciné. Observez le nid d’un petit oiseau, il met d’abord des petits branchages pour la structure de base, ensuite, il met du duvet pour le confort de ses progénitures.

Peut-on dire que nous sommes les seuls à imaginer l’architecture ? Ne soyons pas prétentieux ! L’animal est peut-être, aussi, « culturel » Pourquoi penser que nous serions seuls dotés de « culture » ? L’oiseau sait aussi faire sa maison il y a créé la VIE, il y crée de la musique ! Il chante avec ses moyens provenant de son cerveau, doté de la possibilité de synthétiser de la biologie, de la chimie, de la physique et de l’électricité « BCPE » ; comme nous il possède l’usine la plus compliquée au monde !

Les oiseaux communiquent entre eux et, des recherches sont actuellement en cours dans les forets car, les végétaux communiqueraient-ils entre eux ? Cherchons ! Estomper nos prétentions n’est pas un vilain défaut !

Parfois nous expérimentons sur nous-mêmes en utilisant une recherche mal appliquée au détriment d’une recherche fondamentale qui nous serait plus profitable. Ne progressons pas en nous éliminant de la Nature. Elle nous a permis d’être.

Emblavons le bon grain et, à demain !                          Raymond Chermat

 
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10 mai 2019 5 10 /05 /mai /2019 16:15

La Nature au cours de l’infini d’avant, s’est dotée de droits. Sans ses droits qu’elle s’est attribuée elle n’existerait pas.

Nous ? Pendant des millénaires nous avons vécu en fertilisant des terres mais, aidés par nos trois virus simplificateurs, répétons-les : cupidité, égoïsme et jalousie nous avons bouleversé GAÏA notre déesse grecque de la terre, en oubliant que nous étions un de ses éléments au même titre qu’un arbre !

J’ai des arrières petits enfants nés récemment donc je refuse de croire que si notre lutte contre le réchauffement climatique échoue, d’ici environ 70 à 80 ans, nous serons devant des chaleurs mortelles.

Il vaut mieux savoir que croire !

Par nos façons d’agir nous participons à une précipitation du bouleversement cyclique de l’agencement cosmologique. Il est grand temps de mettre en action d’autres investissements dans des techno sciences pour la VIE et non pour

artificialiser des morts.

Par prétention, par vanité, ne nous extrayons pas de la Nature, restons en elle, observons-la, puisqu’elle nous a donné cette possibilité. Il nous est indispensable de concilier nos intérêts avec la Nature. Parfois les « intérêts » figurent dans des agréments exagérés, et/ou inutiles.

La Nature nous montre sa puissance, ô combien supérieure à la notre. Nous sommes interdépendants. Il y a le végétal, l’animal et nous, animaux verticalisés. Nous ne sommes pas différents, nous « pensons » différemment ce qui nous a conduit à pratiquer l’esclavage, des tortures, des tueries de masses guidées par une redoutable prétention de supériorité, souvent « préconisée » par la religion, - ordalie - jugement de dieu.

Ecoutons la Nature !
Elle ne nous oblige pas à une
VIE ancestrale !
Elle ne nous oblige pas à une mort artificielle !
Elle nous montre que nous pouvons vivre intelligemment en son sein ! Elle nous montre, preuve à l’appui, qu’elle existe depuis si longtemps sans prétention, sans vanité. C’est nous qui voulons être gratifiés pour tout le mal que nous lui imposons à l’aide de nos conneries humaines.

L‘être « humain » pense sans se poser la question de savoir d’où et comment lui vient cette pensée. La neuroscience est une belle voie de recherche, parviendra-t-elle à nous assagir ? Parviendra-t-elle à effacer dans notre système nerveux central nos actes innommables ?

Le fait que nous soyons « culturel » ne nous autorise pas à nous éloigner de l’idée que nous sommes partie intégrante de la Nature.

Nous ne sommes que verticalisés par rapport à l’animal !

Emblavons le bon grain et, à demain !                     Raymond Chermat

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9 mai 2019 4 09 /05 /mai /2019 08:26

Prenons comme exemple la maladie d’ALZHEIMER.

Eloïs Alzheimer neuropsychiatre allemand en fit la description.

La science avance lentement en ce domaine. Nous observons dans le cerveau la présence d’agrégat de Bêta amyloïde. La présence de ce peptide dans le cerveau réduit inexorablement les capacités de mémoriser et de penser.

Comment s’impliquer dans ce domaine afin de réussir là où il nous est, pour l’instant, difficile de simplifier ?

Il est possible que le cerveau plus on le sollicite moins il dégénère, c’est une méthode à utiliser dès l’école. Serait-ce une manière de freiner et/ou d’éradiquer la maladie d’Alzheimer ? Cherchons !

Actuellement sur cette route, nos comportements malfaisants dressent de plus en plus d’obstacles frénateurs en les potentialisant.

Humanisme ? Où est l’être « humain » et quelles sont ses valeurs ?

Où sont ses valeurs quand il lui arrive d’être cruel, voire de tuer son semblable à l’aide des trois virus qui le rongent ? Cupidité, égoïsme et jalousie ! La culture intellectuelle est préférable à la recherche d’une richesse par la cupidité. L a cupidité gomme les pensées créatrices ainsi que les pensées sentimentales. L’intellect devrait nous guider vers un observatoire à l’aide duquel nous prendrions conscience, enfin des bienfait que nous offre si généreusement la Nature.

Montaigne au XVI ème siècle disait : « Nous ne saurions faillir à suivre la Nature ». Il était moderne, déjà !

Le premier qui a dit : « Ceci est de l’argent, vous l’utilisez à la place des objets et l’accumulez indéfiniment » Est le plus grand terroriste que la terre ait porté, le fossoyeur du genre humain.

Une méthode est nécessaire, c’est par elle que l’on peut apprendre à apprendre, les portes des sciences, des arts, et des lettres seront plus facile à ouvrir. Ceci est une absolue nécessité, dès l’école primaire et, en ces domaines, indispensables à notre existence, être étudiant toute la VIE est idéal.

Peut-on éviter ainsi l’apparition d’une redoutable maladie dont Eloïs Alzheimer psychiatre et neurologue fit la description ?

Répétons !

Il est possible que le cerveau plus on le sollicite moins il dégénère, c’est une méthode à utiliser dès l’école. Serait-ce une manière d’éradiquer la survenue, plus tard, de cette maladie ?

Une manière d’éviter de verser dans le catastrophisme pour que la VIE soit ?

Cherchons !

Emblavons le bon grain et, à demain !                            Raymond Chermat

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8 mai 2019 3 08 /05 /mai /2019 08:53

Résumons : l’avenir influe-t-il sur le présent ? Le présent introduit-il quelque chose dans le passé ? L’action remonte-t-elle le cours du temps, vient-elle imprimer sa marque en arrière ? Nous allons devoir travailler à reculons dans le temps puisque nous allons chercher de l’énergie au sein de ce qui existe depuis l’infini d’avant !

Le possible se loge dans le passé ! Soleil, vents, marées, sont des forces de la Nature et nous lui manquons de respect ! Nos nouvelles recherches et la Nature qui de tout temps ont été possibles, deviennent d’une actualité absolue. Pour une survie imaginée meilleure nous avons cassé une molécule et dispersé à travers le monde des malheurs dans notre présent, notre futur et, le futur de nos descendants qui vont se demander si nous étions civilisés.

Ces malheurs quels sont- ils ? Morts artificielles, maladies douteuses quant à leurs origines : Nucléaire ?

L’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, la terre où pousse notre nourriture sont-ils et/ou –elles- sans traces de déchets NUCLEAIRE ? Dans le doute il eut fallu s’abstenir ! Nous ne l’avons pas fait, alors ?

En attendant fermons FESSENHIEME et surveillons de prêt les centrales vieillissantes ! Diplomatie ! Où es- tu ? Ils sont « chefs » d’Etat ! Ils sont responsables des peuples innocents qui « obéissent » ou pas , aux ordres qui consistent à reprendre la mort artificielle à travers le monde. Crime ? Ou plus ? Il faut que l’on invente un mot !

Gravissime ? Mot insuffisant !

Au XXIème siècle ! des enfants sont gazés ! D’autres sont à tout jamais au fond de la mer méditerranée, ils voulaient vivre la VIE, d’autres meurent de faim, écrasés sous les bombes dont ils ne comprennent pas l’utilité.

Puis-je résumer ? Sommes-nous civilisés ? Angélique moi ? Par de nombreux comportements imbéciles nous avons placé de multiples obstacles sur la route qui aurait pu nous mener plus rapidement et, sans dommages collatéraux, vers un épanouissement universel.

Démocratie ! Tu es la souveraineté qui émane du peuple cependant, où es-tu ?

Diplomatie ! Tu es la science politique, mais, la question se pose, comment te comportes-tu en relations 

internationales ? 

Est-il facile de décrire les catastrophes dont nous sommes collectivement responsables par nos actes électoraux ? Non ! Tout cela est insupportable et, nous supportons. Contre toute cette insupportabilité peut-on quelque chose collectivement ? Aïe aïe aïe !

Et si nous cherchions !

Au sein de notre cerveau, machine à penser nos catastrophes volontairement provoquées, de laquelle sortent de telles ignominies, il y a sûrement une solution ! Cette machine unique au monde fabrique le biochimicophysicoélèctrique et, de ce fait elle est compliquée à l’extrême ! Alors ? Demain je prendrai un exemple.

Emblavons le bon grain et, à demain !                         Raymond Chermat

 
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7 mai 2019 2 07 /05 /mai /2019 08:41

En nous dotant d’un système nerveux central -cerveau- la Nature nous donne la possibilité de creuser l’abîme que représente pour moi ce long mot - biochimicophysicoélèctrique -. C’est dans ses entrailles que nous pouvons éventuellement chercher l’origine du multivers, ensemble de tous les univers possibles.

Les racines de l’infini d’avant nous et, les racines de l’infini d’après nous, se trouvent peut-être à l‘intérieur de ce long mot, c’est excitant. La création de la VIE y trouverait-elle son origine ?

La « métaphysique » bloque les recherches en la matière, la curiosité n’est pas un vilain défaut en recherches expérimentales.

La métaphysique est une spéculation intellectuelle sur des choses abstraites qui n’aboutissent pas aux réels problèmes. Faire de la métaphysique n’est pas scientifique dans le sens expérimental du terme.

Dans le français du XVI ème et XVII ème siècle la conscience voulait dire, un sens moral. Aujourd’hui, 2017 peut-on écrire : La recherche fondamentale, Marie Curie, appliquée au nucléaire -bombes et centrales nucléaires et leurs déchets-, du fait qu’elle a été mal appliquée sera-t-elle la ruine de l’humanité ? Des milliers de morts, de malades de leucémies et autres, sont imputables à cette science mal appliquée ! Ô combien ! Et pourtant, Marie Curie et Albert Einstein et d’autres, nous avaient prévenus ! Où est la conscience ? Où est le sens moral ?

Peut-on encore penser comme Rabelais ? : Science sans conscience n’est que ruine de l’âme.

Comment le nucléaire aurait pu échapper à sa néfaste existence ? Chez les « scientifiques » de la science appliquée, existait-il un mirage du passé dans le présent ? Depuis l’éternité d’avant, dans la mesure de notre savoir, le vent existait, le soleil existait, les marées existaient, elles sont rois forces de la Nature et, sans elles nous ne pouvons vivre.

Chez les scientifiques du fondamental ces inépuisables forces de la Nature étaient présentes dans les esprits. L’imagination, la mémoire, et le pouvoir d’adaptation étaient leur moteur. La curiosité, autre élément nécessaire à la recherche, a mené ces scientifiques à chercher la pechblende qui se cachait sagement dans les entrailles de notre belle Nature.

La pechblende, mère de l’uranium était présente dans le passé, bien cachée dans les entrailles de la terre, aujourd’hui elle existe dans la réalité, elle existera dans l’infini d’après.

Donc il est important de répéter et répéter encore que Marie et Pierre CURIE, Albert EINSTEIN, et d’autres scientifi ques de l’époque avaient crié : applications militaires et civiles : dangers absolus ! Nous ne les avons pas entendus et : HIROSHIMA, NAGASAKI, TCHERNOBYL, de nombreux incidents et/ou accidents dans des centrales nucléaires en France, aux Etats-Unis, en Suède, au Japon - centrale de KASHIWASAKI - et, FUKUSHIMA, sont des atrocités issues de nos cerveaux ! Comment est-ce possible ? Avons-nous réfléchi ?

Au fond des océans ?

Sous-marin nucléaire américain SSN-593 coulé à l’est du cap Cod - Côtes Est des E.U -.

Sous-marin américain SSN-589 perdu à 400 milles au Sud-Ouest des Açores.

Sous-marin soviétique avec torpilles nucléaires à bord, coulé en baie de Naples.

Quatre autres sous-marins -connus- au fond des mers -connues- avec 21 armes nucléaires à bord.

J’allais oublier, et pourtant, je le dis tellement souvent ! Plus de 2000 explosions atomiques expérimentales inutiles ont été effectuées.

La sophistication et la cupidité étaient en marche ! La plus démentielle des expérimentations atomiques inutiles -connues- fut celle effectuée au dessus de l’ile Novalja Zdemilia en arctique russe en 1961. Elle fut la plus puissante au monde « Atomic Bomb tsar, the most powerful of the 57 Mt » . Qu’est devenu l’air au dessus de cette ile ?

Il y a doute ! Les déchets ? La déchetterie existe-t- elle pour ce genre d’explosions inutiles ?

Et si on faisait l'école autrement, afin d'appliquer une recherche de l'idéal ! L'idée de zéro chômeur sortirait peut-être de l'utopie !

Emblavons le bon grain et à demain !                         Raymond chermat

 
 
 
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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 09:29

Question ! L’animal tue d’autres espèces pour vivre. L’homme tue d’autres espèces pour vivre, il tue son semblable pour régner et, parfois pour RIEN ! Cherchez la différence ! La science a-t-elle la réponse ? Le cerveau vous dis-je ! En 1987 Georges Canguilhem –philosophe et médecin, publia un article titré « La décadence de l’idée de progrès ». Cet article a fait l’objet de sujets de philosophie des sciences en février 2016.

L’inspiration ci-dessous est-elle hors sujet ?

Ce n’est qu’un modeste résumé ! La recherche fondamentale appliquée -sagement- peut mener au progrès, vers une évolution positive de la civilisation. Des recherches fondamentales -mal appliquées- ont mené et mènent à une civilisation prédatrice de nous-mêmes. Par exemple, en recherches appliquées, Le NUCLEAIRE, vecteur de pollution et de mort artificielles provoque des cancers, et autres maladies connues et/ou inconnues. Par ailleurs, l’utilisation du nucléaire, entraine des catastrophes, un cumul des déchets et, beaucoup d’inconnues en matière de santé. Le NUCLEAIRE, en recherches fondamentales, bien appliquées, a permis en médecine, l’exploration de nos intérieurs, la recherche des fonctions normales et/ou anormales de nos organes.

En matière de chimie, la découverte de certaines molécules bien étudiées, a permis la guérison de nombreuses maladies.

Certaines de ces molécules, nucléaires, pesticides, herbicides, insecticides et autres terminaisons en « cides » toutes dangereuses, et, pour ne citer que celles-là, ont provoqué, notamment chez les cultivateurs, des cancers et autres maladies connues et/ou inconnues.

Réfléchissons :

« Homme », animal, où est la différence ? Peut-on employer les mots civilisation, civilisé, Être humain ?

Doit-on laisser dire, voire lire dans certaines écoles des phrases issues d’écrits religieux du genre : « Dieu, tout puissant créateur du ciel et de la terre » ou encore : « Que toutes personne soit soumise aux puissances supérieures car il n’y a point de puissance qui ne viennent de Dieu et c’est lui qui établit toutes celles qui sont sur la terre. Celui donc qui résiste aux puissances résiste à l’ordre de Dieu et ceux qui y résistent attirent la condamnation sur eux-mêmes ». épitre de Saint-Paul aux Romains, XII,1, 2.

Peut-on dater le début de l’atavisme ?

Alors ?

Des croyances en des invraisemblances, l’ignorance et les peurs qui en résultent peuvent prendre racines, à jamais, dans les cerveaux et, supprimer toutes réflexions, toutes pensées, toutes recherches en rapport avec nos mécanismes des fonctionnements de notre corps et de notre cerveau. Disons que tout cela est encore très compliqué !

Le cerveau vous dis-je ! Juillet 2016, un prêtre est égorgé en Normandie, dans une église !

Où était Dieu, tout puissant, il est dit créateur du ciel et de la terre !

Sommes- nous civilisés ? Réfléchissons ! La Nature, qui nous a engendrés nous montre tous les jours sont incommensurable savoir « bio chimico physico électrique » elle est scientifique !

Sans ce long mot, que j’ai raccourci par ailleurs en un sigle « BCPE » et que j’ai utilisé afin de globaliser un fonctionnement que la Nature maîtrise parfaitement, il est absolument certain que nous n’existerions pas !

Emblavons le bon grain et, à demain !                  Raymond Chermat

 

 
 
 
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